Grâce aux chats qui vont tout seuls. Ils seraient les chats de la liberté. En attendant, ils gardaient leur secret ,
Le cinéma français de Renoir à Godard. op. cit., p. 305 195MAYOUX, Valérie in « Dossier Chris Marker », Positif n° 433, pp.40-194, 1997. ,
« Alain Resnais : j'aime que la réalité soit un peu décallé ». Le Monde, p.22, 2009. ,
Du Divan à l'écran. Paris : PUF, 1999. La Passion de l'alternative chez Resnais : un mauvais infini, pp.71-81 ,
Alain Resnais, liaisons secrètes, accords vagabonds, 2006. ,
Itinéraire d'Alain Resnais ,
Paris : Lettres modernes-Minard, 208 p. ? (Collection « Études cinématographiques, pp.64-68, 1968. ,
« Le sourire du chat, entretien avec Alain Resnais ». Les Cahiers du cinéma, pp.650-659, 2009. ,
« Les Plages d'Agnès : entre pudeur et affichage de l'intime, Agnès Varda reconstitue le puzzle de sa vie, p.17 ,
Agnès Varda. Paris : Lettres Modernes, 1991. ,
Agnès Varda : le cinéma et au-delà. Rennes : Presses Universitaires de Rennes, Collection « Le Spectaculaire, p.257, 2009. ,
Varda par Agnès. Paris : Cahiers Du Cinéma, 1994. ,
Une histoire du chat de l'Antiquité à nos jours, Paris : Fayard, 2000. ? 336 p. ? (Collection « Points », série « Histoire ,
Les Aventures d'Alice au pays des merveilles, Paris : Pocket, 2010. ? 287 p. ? (Collection « Langue pour tous », série « Bilingue ») ,
Le chat Murr, Gallimard, 2010. ? 411 p. ? (Collection « L'Imaginaire ,
Les chats de la liberté. Livret joint au DVD Chats perchés, Arte-vidéo, 2005. ,
Je suis un chat. Paris : Gallimard / Unesco, ? 438 p. ? (Collection « Connaissance de l'Orient, 1978. ,
Contes glacés. Verviers : André Gérard, Collection « Marabout, pp.1974-375 ,
Cent phrases pour éventail, Gallimard, 1996. ? 161 p. ? (Collection « Poésie ,
Ciné chats. Paris : Hoëbeke, 2007. ,
Un chat de cinéma. Paris : Actes Sud Junior, 2007. ,
Autobiogriffures du Chat Murr d'Hoffmann. ? Deuxième édition Paris : Galilée, 1984. ,
Ciné-journal, volume II (1983-1986) Paris : Cahiers du cinéma, 1998. ,
Cinéma 1, l'image-mouvement. Paris : Éditions de Minuit, 1991. ,
Femmes cinéastes ou la triomphe de la volonté, 1971. ,
L'âge moderne du cinéma français de la Nouvelle Vague à nos jours. Paris : Flammarion, 1995. ,
Un siècle de documentaires français, 2004. ,
DOI : 10.14375/NP.9782200340162
Esthétique du mouvement cinématographique, Klincksieck, 2005. ? 159 p. ? (Collection « 50 questions, p.22 ,
Le cinéma français depuis la guerre, Edilig, 1984. ? 127 p. ? (Collection « Cinégraphiques ,
La nouvelle vague : une école artistique ,
« Le ciné-ours ». La revue du cinéma, image et son, décembre 1971, pp.4-5 ,
Le cinéma français depuis 1945, Nathan, 1991. ? 568 p. (Collection « Nathan université ,
Articles, journaux, projets. Paris : Les Cahiers du cinéma, pp.1972-442 ,
Cahiers du cinéma, 1999. ,
Peau d'âne, 1970. ,
Du coq à l'âne, 1983. ,
C'était lors de la sortie des Herbes folles, un entretien avec Alain Resnais ,
Bien sur. Est-ce que la maitrise, le talent, le génie suppriment forcément le plaisir ? Vous ne pouvez pas donner du plaisir si vous n'en prenez pas vous même ,
Et sérieux il peut l'être. Il peut être, je préfère plutôt grave, d'ailleurs, au mot de sérieux. L'esprit de sérieux est un esprit qui m'emmerde, ça ne m'intéresse pas Je suis plus iconoclaste que ça, moi. Mais lui il peut être grave et, comme tous les gens vraiment graves, il peut, avec une sorte de petit sourire en coin et un oeil qui pétille, raconter des choses qui sont terribles. Donc évidemment son bonheur à lui, le moment où il vit le plus intensément, c'est quand le sang des personnages circule dans les veines des acteurs et qu'il voit ses acteur incarner ce qu'il leur a demandé d'incarner. À ce moment là il est, non pas dépossédé de son travail, mais au contraire, il en est enfin maître, enfin propriétaire. Il est propriétaire de sa sensation qui est un partage de ce que l'acteur peut proposer et de ce que le metteur en scène reçoit. Donc c'est tout à fait cohérent votre question ,
XIXème siècle qui s'appelle le « poème symphonique » et qui, comme vous le savez ou pas, est une forme qu'on a inventé pour que les gens qui entendent la musique comprennent ce que cela voulait dire. Il y avait un scénario quoi. Tel passage de violon voulait dire que untel monte au, Bon enfin c'était complètement stupide. C'est comme si on disait sur ce tableau là il faut regarder ça comme ça. Non, je regarde comme je veux ,
de moins en moins loin, il y a une tache, et cette tache, que ce petit personnage ne distinguait pas encore il y a quelques années s'est maintenant identifiée, c'est un butoir de train. Voilà. Et donc, ce petit personnage marche inexorablement mais gaiement tout de même, vers ce butoir qui marquera la fin de cette marche qui n'est pas longue puisqu'elle est courte ,