L. Terrasses-du-donjon-de, Chambord photographies contemporaines extraites de l'ouvrage d'I. de Gourcuff, F. Forget, p.64, 2010.

A. Ph, /. Longchamp, and . Müller, Francis Forget récoltent de nouvelles pièces archivistiques du XVII e siècle : Jean Martin-Demézil s'attache aux restaurations effectuées par Gaston d'Orléans 296 , tandis que Georges Penet 297 se penche sur les travaux commandés par Louis XIV

P. Lesueur, D. De-cortone-dit-le-boccador-paris, H. Paris, and . Laurens, « Quelques points sur la vie de Pierre Trinqueau et Jacques Sourdeau, maîtres maçons du château de Chambord », Bulletin de la Société de l'histoire de l'art français, pp.218-232, 1928.

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M. Consulter and . Chatenet, Chambord, p. 16 ; nous développons cette question dans notre mémoire de lettres modernes (2012), voir première partie, La querelle de l'architecte inconnu, pp.35-41

H. Havard, Léon Palustre, Le château de Chambord » La France artistique et monumentale, t. IV, pp.161-193, 1894.

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. Consulter-par-exemple-pierre-rain, I. Les-séjours-de-françois, ». Er-À-blois-et-À-chambord, . La-retraite-de-gaston-d-'orléans, and . Blois, Les séjours de Louis XIV à Chambord, Stanislas Leszczynski et Maurice de Saxe à Chambord La donation de Chambord au Duc de Bordeaux », Les Chroniques des châteaux de la Loire, 2 e édition

V. Berdal and C. , Ancien régime : constitution, administration, évolutions, thèse de doctorat en préparation à l'Université de Lyon 2 depuis le 26 janvier, sous la direction de M. le professeur Nicolas Leroux. 319 Consulter Jean-Sylvain Caillou, Dominic Hofbauer, « Chambord et son interprétation : l'apport de l'archéologie », in M. Chatenet, Chambord, Annexe I, pp.225-227, 2009.

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É. Johannot, Nouvelles observations à Chambord, mémoire de maîtrise sous la direction, 2001.

. Peintre, médecin en oto-rhino-laryngologie, homme politique

J. Friboulet, P. Pelloux, H. Martin, and . De, Peintre amateur depuis l'âge de 15 ans ; reçoit sa formation de plusieurs maîtres, outre de nombreuses participations à des expositions de groupes, signe six expositions personnelles à Nantes , à Lyon, puis en Europe, 1968.

. De, Interne des Hôpitaux Civils de Lyon, chef de Clinique en oto-rhino-laryngologie, chef de Service ORL à l'Hôpital Broussais de, 1966.

. De, chef de Clinique en oto-rhino-laryngologie, chef de Service ORL à l'Hôpital Broussais de Nantes, etc. Plus d'une centaine de publications scientifiques et médicales portant essentiellement sur les surdités et les vertiges d'origine inflammatoire, leur prévention et leur thérapeutique médicochirurgicale . Sous presse chez Masson en, ouvrage collectif. Plusieurs ouvrages publiés aux Presses, 1966.

. De, il a occupé des fonctions électives à Lyon: conseiller municipal, conseiller régional, vice-président délégué à la Culture, 1983.

P. Adam, Né en 1638 à Paris

N. Frère-de and . Perelle, Élève de son père Gabriel Perelle Ainsi que son père et son frère, il grava des paysages et des vues Il obtint le titre de graveur du roi, et fut très occupé à donner des leçons aux gens du monde, Parmi les élèves qu'il forma, on compte le duc de Bourbon, petit-fils du Grand Condé, et Pierre Aveline. Gabriel : Né vers 1603 à Vernon-sur-Seine

. Cet-artiste-Était-fils-d-'un-fermier-du-duc-de-la-vieuveille, Il entra, en qualité de valet de chambre, chez son seigneur qui remarqua son goût pour le dessin et lui fit donner des leçons par Daniel Rabel Plus tard il travailla dans l'atelier de Simon Vouet Il convient de noter particulièrement dans son ceuvre deux remarquables suites : Les Délices de Paris et Les Délices de Versailles. Ses fils Nicolas et Adam l'aidèrent dans ses travaux. Il grava aussi d'après les dessins de Poussin Il montra un talent égal de dessinateur et de graveur, peignant des paysages, des vues en nombre considérable. Il s'inspira dans ses compositions de Claude Lorrain, de Francisque Millet, mais il conserva une facture personnelle qui fait reconnaître ses estampes à première vue

G. Il-Était-fils-aîné-de and . Perelle, Il travailla d'abord avec lui et ensuite avec Vouet Après la mort de son père, il grava comme celui-ci un nombre important de sujets d'architectures, de paysages et de vues, Il grava Les Quarte saisons et Les Quatre éléments. Le Musée de Marseille possède de lui une peinture ainsi que le Musée de Florence

N. Fils-de and . De-poilly-l-'ancien, Il étudia la gravure avec son père et fut l'élève, pour la peinture de Pierre Mignard et de Jouvenet

. Peintre-ordinaire and . Valet-de-chambre-du-roi, Il travailla pour l'église Saint-Gervais et Saint-Protais de Gisors, ainsi que pour les châteaux de Saint-Germain-en-Laye

C. Racinet-albert, Auguste Né le 20 juillet 1825 à Paris Mort le 29 octobre 1893à Montfort-L'Amaury (Yvelines)

. Élève-de-son-père, De 1849 à 1874, il figura au Salon

. Sa-peinture-fut-d, abord un temps influencée par le tachisme du moment. Il exécuta de nombreuses décorations murales illustratives, pour des dancings et des décors de théâtre. À partir de 1971, il a édité ses dessins en lithographie

N. Ransonnette-charles, Né le 27 mai 1793 à Paris

J. Il-fut-Élève-de and . Bertin, Il fut le dessinateur et graveur attitré de la duchesse de Berry, 1822.

P. Nicolas, Né le 9 mars 1745 à Paris

C. Élève-de, Exposition de la Jeunesse avec divers portraits, et prit part à l'Exposition de l'Académie Royale en 1791 et au Salon de 1800 Il a gravé divers sujets mythologiques d'après G. de Saint-Aubin. Il a dessiné et gravé toutes les vues pour l'Histoire de la Sainte Chapelle, publiée en 1790 par Sauveur Jérôme Morand. On lui doit aussi de nombreuses planches pour l'Encyclopédie des Arts et Métiers et L'Expédition d'Egypte, Il est également l'auteur des planches du grand ouvrage des Maisons et Hôtels de Paris. On lui doit encore Art de la porcelaine (1772) et Première leçons sur une partie des sciences et des arts libéraux présentés à l'Institut des sciences et des arts, ouvrage orné de quatre-vingt-seize estampes, 1806.

C. Rauch, demeura orphelin à l'âge de deux ans Son aïeul encouragea ses heureuses dispositions. Il était de santé très délicate. Il fut élève à Nancy de Joseph Laurent, puis vint à Paris et entra à l'École des Beaux-Arts le 27 août 1813. De 1827 à 1848, il exposa au salon de Paris. Vers 1850, il partit pour l'Italie et y passa les sept dernières années de sa vie, La mort le frappa brusquement à son retour à Nancy

. Rauch-peignit-de-nombreux-portraits, mais ce fut surtout comme paysagiste qu'il fit preuve de qualités tout à fait exceptionnelles. On peut le classer parmi les plus heureux « luministes ». Il voyagea beaucoup en France et ses ouvrages représentent des sites pris dans diverses provinces de l

R. Fleury and F. , Né le 25 février 1777 à Lyon (Rhône) Mort en 1852 à Ecully (Rhône). XIX e siècle

J. Il-fut-Élève-de and . David, Il fut nommé Peintre officiel par l'Impératrice Joséphine. Il figura au Salon de Paris, de 1801 à 1836. Plusieurs de ses toiles ont figuré à l'exposition Style, 1971.

. Neveu-jean-baptiste, . Basan, . Huber, N. Rost, and C. L. Blanc, Le Bryan's Dictionary les apparente à tort avec Hyacinthe Rigaud : il donne à Jacques le Prénom de Jean, en fait le père de son Il fait un ensemble de l'oeuvre des deux artistes. Leurs signatures sont cependant fort différentes. Grâce à l'étude publiée par Charles Genoux dans le Bulletin des Réunions des sociétés des Beaux-Arts des départements, en 1898, Une grande confusion règne chez les biographes au sujet des dessinateurs et graveurs que furent les Rigaud

. Né-en-1877, Mort en 1939. XIX e -XX e siècle. Français

J. Elève-de, L. Ouvrié, and . Petit, Débuta au Salon de 1845 avec des dessins et des tableaux d'architecture. Octave de Rochebrune fit d'abord de la peinture à l'huile, des fusains, de nombreux dessins, de la sculpture d'ornementation sur bois et sur pierre. Plus tard il s'adonna à la gravure. Ce fut dans ce genre, où il se forma sans maître qu'il acquit sa réputation. Il a exécuté notamment Notre-Dame-de-Paris

A. Un-travailleur-de-la-magistrature and . Stoll, Plus tard, il se distingua pour son travail indépendant de peintures historiques et militaires de la fin du 19 ème siècle Parmi les oeuvres les plus célèbres de thèmes militaires de Röchling, on trouve diverses représentations de scènes de bataille de victoires de l'armée prussienne, en particulier ceux de la guerre franco-prussienne. En collaboration avec Georg Koch et Eugen Bracht, il réalisa un panorama de la Bataille de Chattanooga. Il a également travaillé en partenariat avec Richard Knötel et Woldemar Friedrich en illustrant deux livres pour enfants les plus populaires Der Alte Fritz dans 50 Bildern für Jung und Alt en 1895 et Die Königin Luise dans 50 Bildern für Jung und Alte en 1896. l'Exposition Universelle de Paris, son exposition personnelle dans un pavillon place de l'Alma lui valut la reconnaissance d'un public immense et international et désormais la fortune. Il a participé à des expositions collectives : en 1864, il présenta au Salon le masque de L'Homme au nez cassé, étudié sous l'influence de l'Antique, et qui fut refusé ; au Salon de 1877, il put présenter la désormais célèbre figure, connue d'abord sous le titre de L'Âge d'airain, puis de L'Homme qui s'éveille à la nature ; au Salon de 1880, il présenta le bronze de L'Âge d'airain et le modèle en plâtre d'un Saint Jean Baptiste prêchant, au modelé comme ciselé, qui n'obtinrent qu'une médaille de troisième classe, mais seront plus tard acquis par l'État ; ensuite, il continua à exposer assez régulièrement au Salon, Il est connu pour sa représentation de thèmes militaires historiques. Fils de Friedrich Röchling qui souleva diverses polémiques l'incitant à retirer son oeuvre du Salon ; en 1905, la série des Saisons fut exposée pendant quelques semaines au Musée du

P. Dubois, H. Chapu, E. Carrier-belleuse, W. E. Delaplanche, J. Henley et al., authenticité du travail de Rodin d'après nature et garantir son avenir de grand sculpteur Une telle mésaventure montre pourtant qu'à ce moment, Rodin avait trente-sept ans, ses sculptures étaient encore très fidèles au modèle. C'était le moment de son retour d'Italie et la forte impression ressentie devant les sculptures de Donatello et Michel-Ange devait pour longtemps rattacher les siennes à la Renaissance. Toutefois, à la suite de son premier « tour de France » des cathédrales, frappé par le génie, encore à-demi méconnu ou mal compris, des prodigieux sculpteurs du Moyen Âge, sa technique évoluera ensuite sans cesse entre celle de l'Antique et de la Renaissance et celle des gothiques Pour effacer la fâcheuse affaire du prétendu moulage sur nature, le sous-secrétaire d'État lui commanda une grande oeuvre, « une porte » sans autre précision, destinée à un Musée des Arts Décoratifs qui ne sera jamais construit Rodin décida de dimensions considérables, 635x400 centimètres, qu'elle s'inspirerait de la Divine Comédie de Dante, qu'elle se composerait d'un grand nombre de petites figures, en sorte qu'on ne puisse plus l'accuser de mouler sur nature. Ce fut l'origine de l'ensemble des éléments qui devaient constituer La Porte de l'Enfer. Après son échec au concours du Monument commémoratif de la Défense Nationale, de 1879 à 1883, il exécuta un important Buste de Bellone, en fait Rose Beuret la compagne de sa vie ; il exposa au Salon deux figures grandeur nature : La Création de l'homme et Adam (n'était-ce pas en mémoire de la Sixtine ?), détruites depuis, et Eve, dont le bronze ne figurera qu'au Salon de 1889 Dans les deux ateliers du Dépôt des Marbres qui venaient de lui être attribués, il travailla, durant des années, à La Porte de l'Enfer, vaste sorte de portail composé de deux battants, chacun comportant deux panneaux inégaux, ceux du bas beaucoup plus importants, qui représentent les principaux épisodes du poème de Dante, peuplés de plus de cent quatre-vingts figures. Au faîte de la Porte de l'Homme, surmontée des trois Ombres, selon Judith Cladel c'est la figuration du Dante qui, assis, contemple douloureusement l'humanité qui se tord à ses pieds dans les affres du châtiment. C'est une transposition de ce Dante qui, isolée et même détournée de son contexte et agrandie, placée devant le Panthéon, est plus connue sous le titre du Penseur. Une telle anecdote, non minime, porte à s'interroger sur les gloses, si fréquentes, concernant le contenu narratif, psychologique ou idéologique de toute oeuvre, comme ici souvent sans fondement avéré, quand ce qui fait d'une oeuvre un chef-d'oeuvre ce sont ses composantes plastiques avant son contenu iconique. S'il est intéressant et nécessaire de commenter le contenu narratif, poétique de l'oeuvre, on ne doit omettre l'esprit et la technique de sa plastique : La Porte de l'Enfer est la plus considérable des oeuvres monumentales de Rodin et la plus considérable oeuvre sculptée de l'époque symboliste, Rodin tentait de se défendre ; le sous-secrétaire des Beaux-Arts dut intervenir puis, fondue en bronze après la mort de Rodin, installée définitivement au Musée qui lui est consacré

. Dans-le-jardin-du-palais, Royal sur un extraordinaire socle de pièces de marbre conçu par Rodin, qui sera complètement détruit en 1939 lors de son déplacement. Le sous-secrétaire d'État n'en commanda pas moins un second monument, vêtu

. Après-le-triomphe-de, en poursuivit pas moins la réalisation de son oeuvre immense Il avait toujours dessiné, mais dans cette dernière période, il dessina encore plus qu'il ne sculpta constituant finalement un ensemble de plusieurs milliers de dessins et aquarelles Ayant étudié la gravure avec Alphonse Legros à Londres, il n'eut qu'une très faible activité d'illustrateur ; entre 1885 et 1895, collaboration aux OEuvres complètes de Victor Hugo ; en 1899, le frontispice pour Le Jardin des supplices d'Octave Mirbeau ; en 1902, collaboration à l'illustration de Cinq Poèmes de Victor Hugo ; en 1902, édité par Vollard, les lithographies originales pour Le Jardin des supplices d'Octave Mirbeau ; en 1910 les lavis reproduits en phototypie pour les Poèmes d'Humilis de Germain Nouveau ; et après sa mort, en 1918 Vingt-sept poèmes des Fleurs du Mal de Baudelaire, dessins à la plume reproduits en phototypie ; en 1935 les Élégies amoureuses d'Ovide, dessins gravés sur bois par, J. L, 1900.

. En, Ève en bronze ; le portrait du sculpteur Alexandre Falguière ; La Terre et la Lune ; Psyché portant sa lampe ; en 1902, treize oeuvres Le Sculpteur et sa Muse ; en 1904 : Roméo et Juliette ; le Portrait de Mrs S., un marbre tout de finesse ; Portrait de George Wyndhame, homme d'État anglais ; en 1905, onze oeuvres, dont : Buste de Gustave Geffroy ; Buste de miss E. F. ; un ensemble à destination ouvertement décorative, ce qui le rend exceptionnel dans l'oeuvre de Rodin : la série des hauts-reliefs Les Saisons, commandée pour orner une villa à Évian, inspirée de la sérénité de la statuaire grecque, constituée de trois frontons formant dessus-de-porte, qui représentent des jeunes femmes allongées, endormies sous des grappes de fleurs ou des masses croulantes de fruits, et deux vasques en pierre blanche, qui représentent des enfants qui jouent et se bousculent parmi les blés et les pampres mûres. Dans ces hauts-reliefs, assimilables à des groupes, Rodin a particulièrement réussi la répartition de la lumière sur l'ensemble, l'intégration réciproque des masse

. Au-temps-des-carrier-belleuse, . Puech, and . Falguière, Sous la direction de son oncle, Silvestre acquit un remarquable talent de dessinateur et de graveur à l'eau-forte. De 1640 à 1655, il voyagea en France et en Italie Son extraordinaire facilité de travail lui permit de réunir un nombre considérable de croquis, dont il grava un certain nombre dans la suite. En 1661, perdit son oncle, dont il était le seul héritier. Il se trouvait propriétaire d'une grande partie de l'oeuvre de Callot et y joignit les planches que sa veuve possédait encore : les planches gravées par Stefano depuis son retour à Florence ainsi que celles exploitées par Henriet s'ajoutaient à son fonds, qu'il augmenta constamment de ses intéressantes productions. Ce fut peu après, semble-t-il, qu'il épousa Henriette Schmart, dont la soeur, Élizabeth, était la femme du peintre nancéen Jean Nocret. Israël Silvestre eut une nombreuse famille : quatre de ses enfants, Je ne crois pas nécessaire de XIII

. Après-son-installation and . Paris, il adopta un style moins spontané, délaissant l'eau-forte pour le burin. Israël Silvestre tient le milieu entre Callot et Stefano della Bella. A la demande de Louis XIV, il réalisa des pièces d'une inspiration solennelle : Courses de testes et de bagues, de 1622 : Les Plaisirs de l'île enchantée, de 1664 : et surtout, la gravure des Bâtiments Royaux

N. Un-rapport, Chambord et son public, Fiche, vol.7, p.441

T. Du, Iconographie et restauration : l'image au service de l'architecture, Fiche, vol.9, p.467

.. Vii-confrontée-au-mythe, Les parties hautes : l'image, p.566