S. Enfin and . Ce, mémoire ne s'inscrit pas dans une perspective pédagogique ou didactique, certains éléments y font référence, notamment en ce qui concerne la constitution, la formation et la gestion des groupes de

. En, avec les travaux de Moreno en particulier, pourrait se servir de l'analyse des interactions entre élèves pour mieux comprendre les réseaux existants au sein d'un groupe de travail (affinités, complicité)

. Plus, Ecole des relations humaines plutôt qu'à l'expérience scolaire des élèves, la sociométrie peut là aussi apporter des pistes. En ! 57! didactique, par exemple, l'analyse des réseaux de chaque élève doit permettre d'obtenir une cartographie de la classe et des liens au sein de celle-ci. La confiance, les affinités jouant sur les interactions et la réussite du groupe de travail, ceux-ci pourraient être formés à partir des résultats de l

B. A. Gotman-a, L'enquête et ses méthodes, l'entretien, 1992.

D. S. Haegel-f, L'enquête et ses méthodes : l'entretien collectif, 2008.

D. F. Martuccelli-d, A l'école, 1996.

G. H. Sacks-h, On Normal Structures of Practical Action, Theoretical Sociology Perspectives and Developments, 1970.

L. Breton and D. , L'interactionnisme symbolique, 2004.
DOI : 10.3917/puf.lebre.2012.03

URL : https://hal.archives-ouvertes.fr/halshs-00196012

M. Jl, Fondements de la sociométrie, Paris : P.U.F, 1954.

. Qu, est ce que cela change par rapport au travail individuel ? Que se passe-t-il entre les membres du groupe ?

. Qu, est-ce que l'échange apporte dans le travail ? (Les interactions bénéficient-elles à tous ?) Quels éléments ont-été selon vous positifs dans le fonctionnement du groupe ? Quels éléments changeriez-vous ?