. Dans-les-deux-cas, de seuil, de portée et de cutoff sont similaires La seule différence signifiante se situe au niveau de la valeur du pas de recherche des paires de points. Le pas est plus large dans la figure de droite, il y a moins de points. À l'inverse, sur la figure de gauche, on remarque que le nombre de points proches de l'origine est plus important mais leurs valeurs de variance « fluctuent », contraire à l'idée initiale qui stipule qu'à faible distance

. En-période-hivernale, le sol en est saturé. La rivière principale alimente complétement la nappe. Plus le niveau de l'eau est élevé, moins on voit l'effet du barrage Au niveau du bras de décharge, c'est la nappe qui l'alimente de part et d'autre, car le cours d'eau est plus bas

. En-début-de-période-estivale,-le-niveau-de-la-nappe-baisse, laissant apparaitre un « dôme » sur l'îlot. Les effets du barrage sont plus marqués

. En-période-hivernale, on observe un phénomène en « dents » que l'on ne retrouve pas en période estivale. De plus en hiver, le gradient hydraulique est plus important qu'en été. Pour tous ces schémas, la relation nappe/rivière est inversée au niveau du déversoir. Les écoulements sont principalement transversaux, et liés à la topographie générale du terrain, pp.85-93