Les évolutions des préparations à l’officine
Résumé
Les préparations magistrales et officinales représentent une branche de l’exercice officinal qui a actuellement tendance à décliner. Autrefois considérée comme l’art même du métier d’apothicaire, cette pratique a progressivement laissé sa place à la dispensation des spécialités pharmaceutiques, apparues dès l’ère de l’industrialisation.
Dans le but de sécuriser au mieux cette catégorie de médicament, de leur fabrication jusqu’à leur délivrance, la réglementation concernant les préparations n’a cessé d’évoluer. Les définitions sont de plus en plus précises, et la pratique davantage encadrée.
C’est le cas depuis l’apparition des Bonnes Pratiques de Préparation, ou plus récemment avec le décret relatif aux préparations jugées comme pouvant présenter un risque pour la santé.
Ces nouvelles lois sont parfois perçues comme des freins supplémentaires à une pratique déjà en baisse. C’est dans ce contexte que le recours à la sous-traitance devient une solution de plus en plus fréquente, tout en conservant des objectifs de qualité.
Afin de mieux cerner la place des préparations dans le quotidien des officines mais aussi l’évolution de cette pratique, différentes enquêtes ont été étudiées. Ainsi, des données sur l’année 1982, la période 2002/2010 et l’année 2011 ont été analysées, puis comparées aux résultats relevés sur l’année 2016 dans 15 officines de Haute Normandie.
Dans le but de sécuriser au mieux cette catégorie de médicament, de leur fabrication jusqu’à leur délivrance, la réglementation concernant les préparations n’a cessé d’évoluer. Les définitions sont de plus en plus précises, et la pratique davantage encadrée.
C’est le cas depuis l’apparition des Bonnes Pratiques de Préparation, ou plus récemment avec le décret relatif aux préparations jugées comme pouvant présenter un risque pour la santé.
Ces nouvelles lois sont parfois perçues comme des freins supplémentaires à une pratique déjà en baisse. C’est dans ce contexte que le recours à la sous-traitance devient une solution de plus en plus fréquente, tout en conservant des objectifs de qualité.
Afin de mieux cerner la place des préparations dans le quotidien des officines mais aussi l’évolution de cette pratique, différentes enquêtes ont été étudiées. Ainsi, des données sur l’année 1982, la période 2002/2010 et l’année 2011 ont été analysées, puis comparées aux résultats relevés sur l’année 2016 dans 15 officines de Haute Normandie.
Origine : Fichiers produits par l'(les) auteur(s)
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