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. Avez, Incontinence urinaire : Oui, tout à fait / plutôt oui / plutôt non / non, pas du tout / pas d'avis b. Sexualité : Oui, tout à fait / plutôt oui / plutôt non / non, pas du tout / pas d'avis c. Alcool : Oui, tout à fait / plutôt oui

. Bien-cordialement, Chloé Duclercq -11) Je n'ai pas appris grand-chose car je suis déjà très informée

. Oui, je suis intéressée par tous les sujets de santé

C. 'est-bien, ça rappelle que le médecin est quelqu'un de confiance

. Oui, dans le sens où c'est multithématique et qu'on sait que l'information vient d'un médecin et est donc sérieuse

. Oui, ça apporte un gros plus : c'est le premier dépliant multithématique que je vois

. Non, ça ne change rien pour moi car je suis déjà à l'aise avec mon médecin traitant

. Non, est surtout le temps qui fera que la confiance se construit avec le temps et permet d'aborder des sujets délicats

. Oui, Je suis concernée par l'alcool. J'ai eu beaucoup de mal à en parler à l'époque. Le dépliant aurait peut-être pu m'aider à l'époque. Une fois que le sujet est abordé, c'est plus facile d'en parler de nouveau et à d'autres professionnels. Une fois qu'on a parlé à son médecin généraliste

. Oui, Je n'en avais jamais parlé à un médecin jusque-là car je pensais qu'il y avait déjà assez de problèmes de santé. Pourtant ça me gêne énormément. Ce dépliant et cette discussion avec vous ay téléphone m

. Oui, c'est beaucoup plus compliqué d'en parler que la sexualité car il y a un sentiment de honte et de culpabilité Je trouve que le texte du dépliant sur l'alcool aide à en parler. J'apprécie la phrase : "ce n'est pas qu'une question de volonté

. Oui, ça m' a donné envie d'aborder la sexualité avec mon médecin traitant

P. Non and . Moi, le médecin n'est pas la personne à qui j'en parlerais en premier

. Oui, désormais j'oserai parler de sexualité si un jour ça devient problématique

. Oui, je sais maintenant que je pourrai parler plus librement mais ça dépend beaucoup du médecin qu'on a. Pour moi

. Non, car je suis déjà très à l'aise avec mon médecin donc j'ose déjà en parler ! -75) Non car je suis déjà à l

. Dans-la-salle-d-'attente, Je préfère le prendre moi-même, je choisis ce qui m'intéresse

. Remis-par-le-médecin, Ca fait moins pub que dans la salle d'attente

. Remis-par-le-médecin, C'est beaucoup mieux ; ça montre que le médecin est partie prenante dans la démarche d'information auprès du patient

. Remis-par-le-médecin, C'est beaucoup mieux, ça fait plus sérieux

. Remis-par-le-médecin, Ca permet de toucher ceux qui ne regardent pas dans la salle d'attente et qui n'auraient jamais pensé d'eux-mêmes à lire un tel document

. Remis-par-le-médecin, Car on reçoit des explications concomitantes à la remise du dépliant. Cela apporte un aspect humain à un document

. Remis-par-le-médecin, Cela attire moins dans la salle d'attente, ça fait plus pub. Quand remis par le médecin, ça met en confiance sur les sujets délicats

. Remis-par-le-médecin, Remis en mains propres, ça interpelle davantage

. Remis-par-le-médecin, Cela rend la chose plus humaine. Le contact, c'est important

. Remis-par-le-médecin, Car si c'est remis par le médecin, cela veut dire que le médecin l'a lu donc l'information est fiable

. Remis-par-le-médecin, On se sent beaucoup plus concernés si remis par le médecin Je me suis sentie plus sensibilisée, je l

. Remis-par-le-médecin, Le médecin donne des explications en le remettant

. Remis-par-le-médecin, Je n'oserais pas dans la salle d'attente par

. Remis-par-le-médecin, Car ça portera plus ses fruits On se dit qu'il faudra le lire alors que dans la salle d'attente, on lit pour s'occuper

. Oui, concernée de loin par l'incontinence urinaire. J'ai peur d'être touchée après l'accouchement

. Oui, du fait de la prise d'âge, ces sujets nous concernent

. Oui, concernée car des personnes de mon entourage en souffrent

. Oui, concerné car une personne de mon entourage souffre d'alcool

A. La-fin-de-la-rubrique, alcool", plutôt que "Parlez-enPourquoi n' en parleriez-vous pas à votre

. Pour, obstacle majeur est la disponibilité du médecin, la disponibilité de son écoute et le temps qu'il accorde à chaque patient Bien insuffisants et ne prêtant pas à la confidence. Il semble que beaucoup de médecins aient des difficultés à aborder des sujets d'ordre psychologique (état mental, dépression, tout ce qui interfère avec le psychisme comme la sexualité) Donc tout moyen mis en oeuvre pour renforcer la relation médecin-patient est positif. Je salue l'initiative de cette thèse. Ce document est très positif dans le sens où il montre qu'une étudiante en médecine s'est penchée sur la question

. Non-pas-de-critique, . Je-trouve-votre-dépliant-clair-et-bien, and . Fait, Le fait que le médecin nous le remette en main propre peut favoriser un nouveau dialogue. Car c'est aussi à notre médecin traitant qui nous connait de nous amener à parler de certains sujets qui peuvent sembler "embarrassant". Il doit vraiment y avoir une relation de confiance entre le patient et le médecin Si vous n'avez pas cette relation vous ne pouvez pas vous confier. Ah et je viens d'y penser un sujet vraiment très très embarrassant : les hémorroïdes. Pas forcément d'en parler mais de se faire ausculter! Bonne continuation pour votre thèse -26) Insister plus encore sur la compréhension et l

. Je-trouve-ce-dépliant-très-bien, Le médecin est avant tout là pour écouter, pas juste prescrire des médicaments. C'est celui à qui on peut parler de tout. alimentaires (anorexie...), la dysmorphophobie, et tant d'autres sujets dont on ne se rend même plus

. Thème-jamais-abordé-le-tatouage-et-la-santé, Prévention face au facteur mode -61) Il vaudrait mieux retrouver le titre "incontinence urinaire " dans le graphique de la première page Il serait préférable d'avoir l'adresse de l'association à la fin de chaque partie concernée, et partager la feuille en 4 parties. Cordialement -62) Pour la mise en page je mettrai un thème par feuillet du triptyque et grouperai en bas de chaque feuillet la description de chaque association en relation avec le thème du feuillet. Je mettrai en Italique gras sur chaque feuillet l'information invitant le patient à "....parlez en à votre médecin" -63) certaines formulations : supprimer "Par malaise" remplacer "buveurs à risque" par "sujets à risque" remplacer "non voulues" par "non consenties" remplacer "retentit" par "se répercute

L. Fait-de-commencer-par, incontinence urinaire" peut exclure les jeunes qui ne liront pas plus loin

. Le-principal-message-de-ce-dépliant, Je trouve que les dessins ne sont pas utiles et qu'en plus, ils vont dans le sens des préjugés. Le dessin sur la violence n'évoque pas vraiment la violence (des gens qui bricolent ou qui créent?) Seul le couple homme-femme est représenté. Il aurait fallu mettre 2 hommes par exemple. Car ces dessins très connotés peuvent du coup bloquer les homosexuels, en donnant l'impression que médecin n'est pas ouvert mais installé dans clichés. -69) Ce document m'a interpellé et fait réfléchir sur ma consommation d'alcool. Pendant 2 ans, j'ai abusé de l'alcool (suite à des problèmes familiaux) J'ai réussi à en parler à mon médecin traitant que je connaissais depuis 40 ans

. Le-dépliant-est-très-bien-présenté, infos car je suis infirmière Cependant pour des personnes extérieures au milieu les infos sont claires Le fait que le médecin le remette en main propre montre qu'il est réellement ouvert à la discussion. Maintenant bien qu'ouverte aux discussions par mon métier, les questions sur ma sexualité seraient plus délicates, j'aurai peur que mon médecin me regarde différemment (bien que je ne le fasse pas avec mes patients..) . C'est là que seront très utiles les numéros des associations

. Très-bonne-initiative, J'apprécie que le médecin remette un dépliant puis que je sois appelé pour donner mon avis

. Le-dépliant-n-'est, Il faudrait développer plus les 4 thèmes Le plus difficile est d'engager la conversation. Pour moi, c'est facile pour l'incontinence urinaire mais pas pour la sexualité ; j'aimerais des astuces sur comment aborder certains sujets, Très bien que ce soit le médecin qui le donne, ça change tout

. Contexte, Certains sujets de santé demeurent sous diagnostiqués en raison de difficultés de communication entre patient et médecin

. Méthode, Elaboration d'un outil d'aide à la communication médecin-patient, intitulé « Et si on en parlait ? » (ESOP), pour faciliter l'abord de ces sujets. Cet outil comporte un dépliant informatif pour patients et un guide d'utilisation pour médecins

. Résultats, âge médian de 36 ans, 56% en Ile-de-France Concernant les patients, 279 ont participé et 210 questionnaires étaient exploitables : 67% de femmes, âge médian de 54 ans, 70% en Ile-de-France. La quasi-totalité des patients et médecins avaient une opinion globale positive ; 90% des patients le recommanderaient et 81% des médecins pensaient l'utiliser à l'avenir, Seize médecins généralistes ont participé 75% des patients et 94% des médecins pensaient qu'ESOP pourrait aider à aborder des sujets délicats en consultation. L'outil semblait adapté au quotidien de la médecine générale (87%). La remise en mains propres était très appréciée des patients (92%)