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B. ?-psychanalyse-des-contes-de-fées, É. R. Bettelheim, and . Laffont, , 1976.

. Il and . Bérendeï, Le plus jeune s'appelait Ivan. Le tsar avait un jardin magni que et, dans ce jardin, un pommier sur lequel poussaient des pommes d'or. Or, depuis un certain temps, quelqu'un pénétrait dans le jardin et y dérobait les pommes d'or. Le tsar avait bien du chagrin. Il décida de poster des gardes dans le jardin, mais aucun ne parvint à surprendre le voleur. Le tsar cessa de manger et de boire tant il était malheureux. Ses l s le consolèrent : -Bien cher père, ne sois pas si triste, nous monterons nous-mêmes la garde dans le jardin, Le plus âgé des l s ajouta

. Et-le-l-s-partit, Tombant de sommeil, il s'allongea sur l'herbe douce et s'endormit. Il dormit toute la nuit et ne put voir celui qui venait dérober les pommes d'or. Au matin, le tsar lui demanda : -Eh bien, dis-moi vite : as-tu surpris le voleur ? Le l s aîné préféra mentir et déclara : -Non, très cher père, je n'ai pas fermé l'oeil de la nuit

. La, Lui aussi s'endormit et, au matin

, Quand le sommeil le gagnait, il frottait son visage avec la rosée et le sommeil disparaissait. La moitié de la nuit s'était écoulée quand il eut soudain l'impression qu'il y avait de la lumière dans le jardin. De plus en plus de lumière. Bientôt le jardin fut tout à fait éclairé. C'est alors qu'il Vit 1'Oiseau de feu

, Au matin, Ivan tsarévîtch alla voir son père. -Eh bien, mon cher Ivan, as-tu surpris le voleur ? -Bien cher père, je n'ai pas réussi à l'attraper, mais j'ai pu voir qui te cause tant de soucis. C'est l'Oiseau de feu, père. Voici tout ce que j ai pu te rapporter, dit Ivan en tendant la plume à son père. Le tsar prit la plume et

, Il t alors venir ses l s et leur dit : -Mes chers enfants, sellez votre meilleur cheval, parcourez le vaste monde, tous les pays de la Terre

, Les l s saluèrent leur père et se mirent chacun en route dans une direction différente