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. Vi, Annexes ANNEXE I : Evolution du climat en France Source Météo-France, Site Climat HD

, En France métropolitaine, les effets du changement climatique se traduisent principalement par la hausse des températures moyennes. De 1900 à nos jours, le réchauffement atteint environ 1,4°C, une valeur plus forte que celle observée en moyenne mondiale

, Le réchauffement est comparable d'une région française à l'autre mais son rythme n'est pas régulier. Il a notamment connu une accélération depuis les années 1980. Sur la période 1959-2009, on observe une tendance de +0,3°C par décennie en moyenne annuelle

, Au printemps et en automne les cumuls sont en hausse sur la majeure partie du territoire métropolitain. En hiver et en été, l'évolution des précipitations est plus contrastée d'une région à l'autre. On observe notamment une baisse des cumuls sur les régions méridionales. Cependant, à l'exception de quelques régions de l'Est de la France ou proches de la Méditerranée, les tendances des précipitations sont souvent peu marquées et peuvent varier, L'évolution du cumul de précipitations diffère selon les régions et les saisons

, on observe aussi des évolutions de la fréquence et de l'intensité des événements extrêmes : le nombre de journées chaudes (températures maximales supérieures à 25°C) augmente, tandis que le nombre de jours de gel diminue. Les vagues de chaleur sont devenues plus fréquentes et plus intenses. En revanche, aucune tendance marquée ne se dégage pour l'évolution du nombre d'événements pluvieux intenses

, Les changements décrits ci-dessus ont des impacts sur l'évolution du cycle de l'eau. En particulier, la durée de la période d'enneigement en moyenne montagne diminue et l'évaporation des sols s'accentue, induisant des sécheresses plus fréquentes et plus intenses

, Corrélation entre la valeur médiane des indicateurs et le rendement médian par décennies. Le calcul des valeurs médianes pour la dernière décennie est le même que page 24. Pour ce qui est des rendements, on considère que la médiane reste la même jusqu'à la fin de la décennie

, C'est-à-dire qu'on fait l'hypothèse qu'il existera toujours une forte variabilité impliquant un

, Il en ressort que seul l'indicateur s2s4_hdaystmean (le nombre de jours où la température moyenne journalière dépasse les 15°C en période de montaison) est significativement corrélé