, Madame Konaté a voulu essayer, et depuis elle participe systématiquement aux deux ateliers lorsque ses disponibilités le permettent. Pendant les séances, elle nous complimente beaucoup, insistant sur la notion de bien faire. Notre relation avec cette femme semble être de type vertical, Madame Konaté se met dans une position d'élève en expressivité corporelle et d'enfant en relaxation. Cette relation peut s'expliquer par la situation d'être patient : « Une première rencontre avec un professionnel expose l'usager à deux niveaux de stress : le stress lié au fait d'être dans un cadre non familier en présence d'un inconnu, Madame Konaté est très régulière dans sa présence aux ateliers, elle vient toutes les semaines, hormis lorsqu'elle travaille

. L'usager, qui est en situation de vulnérabilité ou de détresse, s'adresse à quelqu'un, un professionnel, censé l'aider et représentant "une figure plus sage et plus forte, Nous, vol.115

E. Ressentons-chez, une difficulté à se retrouver sous le regard de l'autre. Elle nous souligne que nous faisons bien et fait des retours très positifs, mais elle manque de confiance et d'affirmation et nous demande si elle fait bien. Madame Konaté montre une dévalorisation dans la confiance en ses capacités

, Lors de la première séance, elle n'était pas la seule femme présente, et nous avions remarqué une hypertonie de fond, avec quelques mouvements de participation et des paratonies présentes. Ce profil tonique reste le même lors des deux séances suivantes, où elle est seule, mais cette fois-ci elle s'endort pendant la relaxation, Madame Konaté a participé à trois séances de relaxation

, Madame Konaté nous dit lutter pour ne pas s'endormir

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