.. .. Résultats,

.. .. Discussion,

E. Étude, . De-tea-tree, and .. .. Globuleux,

.. .. Matériel,

F. Étude-scientifique-sur-l'he-d'anis-Étoilé and .. .. ,

. Ii and .. .. Synergie,

, 101 étoilé ( CI 50 = 1 ?g/mL). Elle est suivie par l'HE de Tea tree ( CI 50 = 2 ?g/mL), puis par les HE d'Armoise arborescente (CI 50 =2,4 ?g/mL), de Menthe odorante

, En ce qui concerne la toxicité cellulaire, ce phénomène d'inégalité est également reconnu

, Pour les mêmes raisons que précédemment, les HE de Mélisse officinale et de Menthe poivrée ne sont comparables qu'entre elles. Avec une concentration maximale non cytotoxique plus faible (0,002%), l'HE de Mélisse officinale est plus toxique pour la cellule

, Pour les 6 autres, la cytotoxicité la plus élevée est observée pour l'HE de Thym à thymol (50?g/mL), suivent les HE de Tea tree (75?g/mL), d'Anis étoilé (100 ?g/mL) et d'Armoise arborescente (100 ?g/mL), d'Eucalyptus globuleux (200 ?g/mL)

, CT 50 = 0,014% pour l'HE de Menthe poivrée > CT 50 = 0,003% pour l'HE de Mélisse officinale ; HE de Menthe odorante (CT 50 = 343,6 ?g/mL) > HE d'Eucalyptus globuleux (CT 50 = 290 ?g/mL) > HE d'anis étoilé (CT 50 =160 ?g/mL) > HE d'Armoise arborescente (CT 50 = 132 ?g/mL) > HE de Tea Tree, Cet ordre de toxicité est conservé pour les concentrations nécessaires à la destruction de 50% des cellules

, Une HE cytotoxique à forte dose qui entraîne une inhibition de la multiplication virale à faible concentration aura un IS élevé. L'IS le plus haut (IS=160) des HE explorées, est rapporté par l'HE d'Anis étoilé. Elle est suivie de l'HE de Menthe odorante (IS = 67), de l'HE de Tea Tree (IS= 60), de l'HE d'Armoise arborescente (IS=55), de l'HE de Mélisse officinale, Ces deux critères (cytotoxicité et inhibition virale) peuvent être interprétés simultanément grâce aux index de sélectivité (IS) qui permettent d'évaluer l'activité antivirale en prenant en compte les concentrations toxique et inhibitrice à 50%, vol.7

, D'autre part, les publications présentées ont également mis en évidence l'activité antivirale de 18 composés contre VHS-1. Parmi ces 18 molécules, plusieurs familles biochimiques sont représentées : ? des monoterpènes : ?-pinène, limonène, ?-terpinène, ?-terpinène, ?-pinène, ?-cymène ? des alcools monoterpéniques : terpinèn-4-ol, ?-terpinéol ? des phénols monoterpéniques : thymol et

, oxyde de pipéritenone ; oxyde de ?-caryophyllène ? un aldéhyde terpénique : citral La plupart de ces composés testés agissent principalement directement sur le VHS-1 avant sa pénétration dans la cellule hôte. Cependant, le 1,8-cinéole a montré une activité, très modérée à cette période de réplication, mais qui s'est prolongée après l'infection. Quant à l'oxyde de pipériténone, il garantit, en plus, ? un phénol méthyl éther : trans-anéthole ? un sesquiterpène: ?-caryophyllène ? des alcools sesquiterpéniques : farnesol, ?-eudesmol ? des oxydes terpéniques : 1,8-cinéole

D. Déterminer, pour chacune des HE citées en fin de deuxième partie, le ou les constituant(s) responsable(s) de l'activité contre le VHS-1, nous pouvons supposer qu'elle est apportée par les monoterpènes et alcools monoterpéniques qui les composent puis, le 1,8-cinéole pour les HE de Tea Tree, de Ravintsara ou de Niaouli. Pour l'HE d'Eucalyptus globuleux, son composé majoritaire, le 1,8 cinéole, puis secondairement, les quelques monoterpènes présents en faible concentration seraient impliqués. Pour l'HE de Mélisse officinale, le citral puis le ?-caryophyllène seraient essentiellement à l'origine de cette action virucide

, En ce qui concerne les HE de Menthe poivrée et d'Armoise arborescente, il est difficile d'établir le lien car leurs principaux constituants n'ont pas été étudiés seuls. Pour l'HE de Menthe poivrée, les monoterpènes et le 1,8-cinéole et pour l'HE d'Armoise arborescente, le limonène présents en faible quantité pourraient éventuellement participer, à minima

. Quant-À-l'he-d, Anis étoilé, son composé principal, le trans-anéthole, pourrait être à l'origine de cette activité antivirale. Pour l'HE de Menthe odorante, ce serait l'oxyde de pipériténone qui la

, Les différentes études présentées au sein de ce mémoire ont permis de démontrer

D. , avec un mécanisme d'action distinct de celui de l'aciclovir, face au problème de souches résistantes à cet antiviral, les HE semblent être de bons prétendants. Pour conclure, d'après ces études in vitro, l'utilisation d'HE seules ou en association avec

, OMS -Deux tiers de la population des moins de 50 ans sont infectés par le virus Herpes simplex de type 1

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