«. Donc, . Effleure-saint, and . Bruno, Berriat est vraiment l'axe du quartier mais la place Saint-Bruno en est d'une certaine façon le coeur. Donc ça, c'est une construction des années 1880, qui avait été financée par les pères Chartreux d'où l'appellation Église Saint-Bruno du nom du fondateur de l'ordre des Chartreux et quand l'église a été créée avec un certain nombre d'équipements également liés à l'église de l'époque, le quartier qui était très informe d'un point de vue urbanistique, a trouvé là un point d'ancrage. Et ce qui est très significatif, c'est que toutes les manifestations ouvrières de la

, Il est nécessaire de remettre au coeur des politiques et des mentalités la notion d'hospitalité. Notre rapport aux autres doit également changer. Il s'agit ici de construire la résilience à partir des communs. Mais que sont les communs ? D'après le rapport Biens Communs La Prospérité par le Partage les communs « désignent des formes d'usage et de gestion collective d'une ressource ou d'une chose par une communauté ». Comment se matérialisent concrètement ces communs ? Nous 113 pouvons distinguer trois catégories des communs, Fabriquer la résilience grenobloise de demain n'est pas chose aisée

, Cela permet ainsi de lutter contre la gentrification et d'impliquer les habitants dans la vie des quartiers. Ce type de commun renvoie fortement à la notion de Droit à la ville développé par Henri Lefebvre en, 1968.

. Ensuite, L'idée derrière ces communs de la connaissance est de partager le savoir et tous les biens matériels ou immatériels pour les rendre accessibles au plus grand nombre. Dans notre cas, le campus universitaire rentre dans cette catégorie des communs de la connaissance, Nous pouvons

L. Dauphinois and . Maison-de-la-culture, les parcs ou les places (exemple : Place Victor Hugo), les friches (exemple : quartier Bouchayer

, Il est donc nécessaire de prendre en compte tous ces communs pour construire la résilience de demain tout en apportant un regard nouveau au prisme de S. Helfrich, R. Kuhlen, W. Sachs et C. Siefkes, Biens Communs La Prospérité par le Partage, 2010.

D. Festa and M. Dulong-de-rosnay, Diego Miralles Buil, « Les communs, vol.114, 2018.

H. Lefebvre, Le Droit à la ville, 1968.

, nécessaire de s'appuyer sur le passé historique de Grenoble pour réaliser des projets qui font sens. Tout cela semble être une des réponses aux problèmes grenoblois

, Faut-il donc faire des projets culturels pour favoriser l'hospitalité ? La question culturelle est-elle donc le meilleur moyen de faire une ville hospitalière ? Devons-nous tendre vers une culture de l'hospitalité ? Devons-nous re-questionner les méthodes de fabrication de l'espace urbain au prisme de l'hospitalité ? CONCLUSION La relecture de la fabrique urbaine

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, Arrivée à Grenoble en 1966 (UJF), informaticien, syndicaliste, chef d'entreprise, GO 95, conseiller municipal

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, Il enseigne à L'IEP et à l'IUL de Lyon ainsi qu'à l'IEP de Grenoble. Parallèlement à cette activité de recherche et d' enseignement, Claude Jacquier est administrateur dans différentes institutions publiques et ONG internationales. Il est administrateur de Culture et développement depuis le début des années 90, 2004.

, Il est aussi président directeur général bénévole de l' ODTI (Observatoire des Discriminations et des Territoires Interculturels) qui construit à Grenoble, en relation avec les pays d'origine

, ) -membre de l'équipe Villeneuve (planification générale des études et chantiers pour l'Arlequin -1968-1971 ) -deuxième adjoint au Maire chargé des services et du personnel (1971-1977) -Directeur général de la Compagnie de Chauffage, 1967.

S. , Conseiller municipal délégué à la culture et aux relations internationales (1971-1983), conseiller municipal d'opposition, 1983.

. Résistance, 39-45) sages et Sem, 2000.