, En l'absence de preuves ou d'indices plus concrets, je n'attribuerai pas cette date de naissance, cela restera uniquement une possibilité

, -Les enfants du couple Anne BAILLARGE met au monde sept enfants à, p.145

A. ?-marie, née 26 septembre 1736 146 ? Magdeleine, pp.7-1737

?. Louis, né le 11 janvier 1740, branche descendante étudiée ? Marie Anne, née le 15 juin 1743 148 ? François, né le 24 janvier 1745 149 ? Jean, p.150

B. -la-famille-d'anne and B. Jacques, vers 1681 possiblement à Saint-Georges-d'Oléron -22 novembre 1740 151 à

. Saint-denis-d, Oléron) se marient le 06 février 1703 154 à Saint-Denis-d'Oléron, il est précisé que l'époux est laboureur journalier

, Il a été trouvé cinq enfants nés dans la commune : ? Jeanne, née le 27 novembre 1703 155 ? Jeanne, née le 20 janvier 1708 156 ? Catherine, née le 04 mars 1710 157 ? Magdeleine, pp.28-1717

, un vétérinaire, et de Constance MARDRELLE (15 juin 1802 209 à La Riche -12 avril 1880 210 à Nieul-sur-Mer). Le couple se marie le 08 juin 1829 211 à Mazières-de-Touraine. De cette union, naissent trois autres enfants : ? Anne Adeline, née le 04 janvier 1831 212 à Saint-Etienne-de-Chigny ? Françoise, janvier 1801 207 à Thouars -24 février 1870 208 à la Rochelle)

. M. Registre-en-ligne--n,

, Registre en ligne -naissances -Thouars -an VIII/an X -A

, Registre en ligne -Table décennale -La

, Registre en ligne -décès -Nieul-sur-Mer

. M. Registre-en-ligne--n,

. M. Registre-en-ligne--n,

. M. Registre-en-ligne--n,

, Je n'aurai pas à étudier la question du contrat de mariage puisqu'il est précisé que le couple n'en a pas fait. 2 -Naissance et famille de l'époux L'acte de naissance confirme les informations du mariage, Léon Gabriel COGNACQ est bien né le 15 février 1900 262 à Le, pp.18-1867

-. Le, 09 juillet 1924 264 à Saint-Martin-de-Ré) et de Clara RATAUD (28 mai 1871 265 à Le, -13 août 1911 266 à Le

, Les parents de Léon Gabriel se sont mariés le 21 janvier 1890 267 à Le, et ont eu sept autres enfants : ? Augustine Clara, p.268

L. ?-adrienne and . Angélique, , pp.10-1892

A. ?-léontine, , p.271

A. ?-marie, , p.272, 1901.

. ?-marcelle-eugénie, , p.273, 1902.

?. Victoire, , p.274, 1905.

L. De and C. , Félix Alexandre finira ses jours à

, En marge, il est fait mention du mariage de celui-ci. Comme l'évènement et le détail qui s'y rapporte dépasse la période de communicabilité

, Registre en ligne -naissances -Le

, Registre en ligne -naissances -Le

. Cote,

, Registre en ligne -naissances -Le

, Cote 2E 51 / 33 -décès -Le

, Registre en ligne -mariages -Le

, Registre en ligne -naissances -Le

, Registre en ligne -naissances -Le

, Registre en ligne -naissances -Le

, Registre en ligne -naissances -Le

, Registre en ligne -naissances -Le

, Registre en ligne -naissances -Le

, Cote 2E 51 / 31 -naissances -Le

. Cote,

, pas été modifiée dans ses limites et l'emprise bâtie est restée identique. Toutefois, avant d'observer ce bâtiment, on peut s'interroger sur les limites de ce type de document. En effet, on peut se questionner sur cet édifice, à savoir s'il a été détruit et remplacé par un nouveau bâtiment (occupant ainsi la même emprise au sol), s'il a subi des transformations majeures ou s'il est intact depuis ces deux cents dernières années ? C'est pour cela qu'il est

, Un rapide coup d'oeil sur google street-view me permet d'évaluer le nombre d'ouvertures visibles aujourd'hui et je dénombre vingt-six ouvertures. Cela me laisse penser qu'entre 1882 et 2019, le bâtiment est resté globalement le même, mais il a dû subir quelques transformations, La matrice cadastrale nous apprend qu'en 1891, le bien est entré en possession de Louis Emile DAVIAUD, et qu'en 1882 on dénombrait vingt-deux ouvertures imposables

, Cote 3495 W 2714, cadastre en ligne A. D. 17 + traitement cartographique Lorian Blanchet

. Cote, En regardant les métiers qu'exerçaient les différents occupants, il apparait nettement que ce sont, pour l'essentiel, des ouvriers et des employés. On retrouve beaucoup de métiers qui ont un lien avec l'activité maritime comme marin

, Cette étude « L'habitation rochelais du centre ancien de La Rochelle » 308 m'a permis de me familiariser avec un vocabulaire technique lié à l'architecture. Dans cette recherche, rien n'a été écrit sur le 2 rue de la Cloche, mais des analogies me permettent de faire des rapprochements. J'ai pu faire des hypothèses, questionner ce bâtiment et voir à quelles typologies il pouvait appartenir? Je propose donc ici d, Après avoir atteint la limite des informations pouvant être obtenues aux A.D. 17, je me suis intéressé à une étude publiée par l'Inventaire du Patrimoine de la Région Poitou-Charentes datant de, 2002.

, Je note que dans cette étude, seulement deux maisons de la rue de la Cloche sont datées. La maison située au numéro 4 (mitoyenne du 2) est datée de 1695

, Je suis allé sur place pour faire des observations afin d'en apprendre plus sur ce bâtiment

, Il est composé d'un Rez-de-Chaussée (R.D.C.) occupé par un commerce (un bar) sur lequel se développent trois étages d'habitation. L'accès au commerce se fait par la rue Verdière tandis que l'accès aux logements se fait par la rue de la Cloche. Je note que le nom « rue de la Cloche

, je remarque que sur cette parcelle qu'il y a deux bâtiments différents qui compose le 2 rue de la Cloche, ce que le cadastre ne précisait pas. J'observe deux styles architecturaux ainsi qu'une différenciation de traitement des façades et des toitures. Ce qui me laisse penser que ces deux bâtiments ont été construits à deux époques différentes. J'en déduis qu'à une époque antérieure à 1811

, Celui-ci est composé d'un appareillage en pierre de taille et est souligné d'un bandeau filant de niveau qui permet de marquer la hauteur de plancher le séparant du premier étage. Je note que les R.D.C. ont souvent pu être remaniés au cours des siècles afin de s'adapter aux activités de ceux qui y travaillaient, Les deux bâtiments mitoyens sont différents mais seul le traitement architectural du R.D.C. est identique

, On peut supposer que le bâtiment « A » ne peut pas être antérieur à cette époque. L'appareillage en pierre du R.D.C. a été réalisé avec plus de moyens et de soins que ceux des étages. On peut estimer qu'il y eu plusieurs périodes de construction (ou de reconstruction) ponctuées par des apports financiers, variables en fonction des époques, Le remplacement des édifices en bois par de la pierre se met en place à partir du milieu du XVIe siècle à la Rochelle

, Pour en apprendre davantage, j'ai mené mon enquête en allant à la rencontre du gérant du commerce « Les Têtes Brûlées » au 2 rue de la Cloche

, En poursuivant mes recherches, je consulte sur internet la « Base Mérimée »311 pour savoir si l'immeuble est classé ou inscrit au titre des Monuments Historiques

J. Le-fond-eugène-lévêque-À-la-médiathèque-de-la and R. , Je retrouve les élévations de la maison dessinées en 1890. Je compte au total 23 ouvertures contre 26 aujourd'hui. En comparant ce dessin avec l'immeuble actuel, je note des petites différences aux niveaux du R.D.C. et des étages. On distingue sur le bâtiment « A » au R.D.C. rue Verdière, deux fenêtres à la place de l'ouverture en arc (en anse de panier) et les deux petites fenêtres de l'attique ne sont pas représentées (un oubli ?). On peut remarquer que sur le mur pignon du bâtiment « A », il manque deux fenêtres aux étages et il semble que la fenêtre du 3ème étage devait être à l'origine une petite fenêtre, Cet érudit local de la fin du XIXe siècle a relevé, l'état des façades des rues de la Rochelle

, Schéma de la maison à l'angle de la rue de la Cloche et de rue Verdière vers, p.312, 1890.

, Lors d'une recherche cartographique de la Rochelle sur le site internet Gallica, j'ai trouvé par hasard un plan montrant l'architecture défensive de la Rochelle en 1620. J'observe sur ce plan que les maisons des différents quartiers ont été modélisées

Q. Saint-jean-de-la-rochelle-en, , p.313, 1620.

, Même si ce document n'est pas une reproduction fidèle des maisons, je peux en exploiter des éléments intéressants

, Maisons à l'angle de la rue de la Cloche et de rue Verdière en, p.314, 1620.

, Comme je le supposais précédemment on distingue deux bâtiments, donc il devait y avoir deux parcelles

, Le bâtiment « A » semble être construit tout en pierre, il n'y a pas de pignon marqué et la toiture semble avoir été abaissée. Ce bâtiment parait très similaire à la construction visible

. Rupella-a, , p.1620

. Rochelle and . Par-matthaüs-merian, Gallica + traitement cartographique Lorian Blanchet 314 RUPELLA A, p.1620

R. , Matthaüs Merian, Gallica + traitement cartographique Lorian Blanchet XVIII -Références bibliographiques

A. Ouvrages, . Mickaël, and . Bonnin-jean-claude, , 1998.

. Augeron-mickaël, H. Jean-louis, L. De, and . Rochelle, , 2015.

. Cassagne-jean-marie and . Mariola, Dictionnaire des noms de rues de la Rochelle, Geste Edition, 1998.

. Froissart-jean, J. Chroniques-sire, . Froissart, X. Bnf-gallica, and . Siècle,

. Guides, . Bleus, H. Poitou-charentes, and . Editions, Nouveaux-Loisirs Editions, 1994.

V. Inrap, origine et évolution d'une rue médiévale de la Rochelle, 2012.

A. Lafreri, Il vero sito della Rocella hora occupata da heretici et ribelli di Sua Maesta Christianissima della quale sono assediati, Recueil Bournaud, p.1573

L. Jacques, Historique & origine des noms de rues du vieux, 1573.

F. Le, La Rochelle en 101 sites et monuments, Edition LE FESTIN, hors-série, 2018.

. Mahiet and C. De, Les Grandes chroniques de France, BRITISH LIBRARY, vol.1340

. Michon and . Bernard, Sites internet ? Archives départementales et communales en ligne, Histoire des 1250 rues de la Rochelle des origines à nos jours, Bréché Edition, 1960.

L. Signac-paul and . Rochelle, , pp.1920-1928