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, Vos mots en conclusion

. Ma-première-descente-dans-le-métro-de-st-petersbourg, Arrivé en bas , la femme en uniforme "à la Russe" avec sa casquette m'a regardé d'un oeil très noire... j'ai dit aux collègues qu'avant la fin de notre séjour, elle me sourirait... et petit à petit, jour après jour, en commençant à chaque passage par un petit signe de la tête, puis un petit signe de la main, accompagné de collègues nantais mais originaires de Russie: durant la descente, je prenais des photos et les Hauts-parleurs ont "craché" quelques phrases en Russe que je ne comprenais pas

, failli me perdre la première fois que j'ai pris le métro seul car ne connaissant pas le Russe, je ne comprenais pas le nom des stations. Comme ça fait bien longtemps, je ne me souviens que de quelques péripéties (comme d'avoir été confondu avec un tchétchène à cause de ma barbe) qui n'ont rien a voir avec le métro

.. Les, Le métro a été une source d'éblouissement quotidien lors de mon séjour, il est soumis à des règles implicites très bien respectées par les utilisateurs, les femmes avec enfants, puis les "anciens

, Le message 'ostarojna dvieri zakrivaietsa" attention "les portes se ferment" est resté un souvenir sonore indélébile de la Russie

, Je me souviens 20 ans après d'une impression de décollage lors de la prise du premier Escalator descendant dans les entrailles du métro, de la discipline des moscovites restant bien à droite du faste des stations, des lustres, de la lumière

, Avec mes longs cheveux blonds et mes yeux en amande, on me prenait pour une Ukrainienne.Lorsque je riais de voir l'insistance de certains qui refusaient de croire que j'étais française et pensaient que je me moquais d'eux, j'ai pu voir des colères de dépit. Le métro était-il une soupape de sécurité ? J'en ai eu souvent l'impression, les moscovites ne se parlaient pas dans la rue ou les lieux publics. Ils s'ignoraient, étaient toujours seuls. Dans cette ville grandiose, culturellement très riche, régnait un silence oppressant, 1977.

. D'abord,-ce-qui-m'a-impressionnée-c'est-la-profondeur-du-métro!-À-saint-petersbourg-comme-À-moscou, Ce qui m'a marqué aussi c'est la manière dont on s'habitue à la beauté d'un lieu. Toutes les stations sont belles mais quand les moscovites prenaient le métro ils ressemblaient tout à fait à un parisien prenant le métro, ils sont pressés, marchent vite et semblent déterminer si bien qu'ils ne semblaient plus faire attention au joli décor autour d'eux. Je me suis jamais sentie aussi gênante qu'au milieu des moscovites en essayant de prendre des photos de leur magnifique métro! Le métro de Moscou a une odeur tout à fait particulière

J. De-moscou-au-quotidien, Malgré un trajet habituel qui impliquait un détour, je préférai me retrouver dans la foule, éventuellement aux heures de pointes, même débout, plutôt que d'utiliser un trolleybus qui me donnait la nausée

. Le, dans lequel on se retrouve plongé à peine quittée la station, rend très difficile de tenir une conversation. Pourtant, tout semble fait pour qu'un certain confort, apparemment sommaire, soit bien là : des banquettes qu'à peu près tout le monde rend disponible pour les personnes à peine passées la soixantaine d'année, la propreté, et surtout la beauté de la grande majorité des stations. Une discipline collective semble vraiment parcourir les Moscovites dans le métro, contrastant avec l'extérieur : chacun ""tient

, Une spécificité il me semble : le choix d'un éclairage qui n'éblouit jamais, qui met en valeur les volumes et les choix architecturaux, Très rapide, beau et un fort marqueur de Moscou à mes yeux