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Action ,
Il est prêt à rouler « au milieu de la route pour ne pas se faire doubler » et garantir sa sécurité. Interactions avec son environnement : -Remarque sur les détails de la ville : il est amené à croiser des visages qu'il rencontre au quotidien et à percevoir « des choses que l ,
, Ainsi l'ambiance perçue a une influence sur son interaction avec les autres usagers. Soit, il est plus tolérant soit, il va entrer en conflit avec des usagers qui ont eu un comportement dangereux. -Il se sent nerveux lorsqu'il voit des comportements dangereux qu'il soit a vélo ou en voiture et face aux voitures qui se garent sur les pistes cyclables, les klaxons, la circulation dense. Il qualifie alors l'atmosphère comme délétère. -Il évite les interactions avec les piétons. Pour lui le vélo est un mode de transport qui à sa place sur la route. Il est vigilant lorsqu'il est amené à prendre une voie piétonne. Il ralentit son rythme, car il ne sait pas à quoi s'attendre avec les piétons. Rythme : -Il essaie d'avoir une pratique linéaire dans le vélo. Selon lui, être énervé peut rendre moins attentif, Globalement, il se sent bien en vélo et c'est pour cette raison qu'il continue
, Il trouve agréable les aménagements dédiés aux cyclistes notamment lorsqu'ils sont sans interruption. -Il considère que le centre est « relativement » mieux aménagé qu'avant. Il permet de limiter la gêne occasionnée par les voitures. -Mais pour lui, les aménagements sont le plus souvent inadaptés à sa pratique quotidienne, Lien avec les aménagements : -Il les considère « hypers importants
il préfère prendre la voie de bus que la piste cyclable, car sur cette dernière, il doit s'arrêter à chaque intersection et il y a un manque de visibilité. La présence de rainures est un risque d'accident majeur pour lui. Place de Bretagne : il trouve que les aménagements ne permettent pas une fluidité pour les piétons et les cyclistes. Il évite les voies de bus partagées avec les vélos ,
, Il est insatisfait des ronds points qu'il considère comme dangereux
, Autres expériences en dehors de Rennes : -Dans le sud de la France, il a emprunté une vélodicée qui était située sur la nationale, auprès des voitures. L'expérience était « Trop dangereuse, Globalement pour lui, les aménagements pour les vélos sont construits en fonction de la voiture
On était obligé de rouler sur le trottoir avec les piétons. Maintenant c'est beaucoup mieux ». -Elle n'apprécie les sas cyclables, car ils ne sont pas respectés. Elle les considère comme « mal foutus » car ils la mettent en danger. Cela influe sur son humeur. -Point de vue sur les voies partagées bus-vélo : situation stressante parce qu'elle se retrouve à proximité des bus lors du dépassement. De plus, son rythme devient saccadé par les arrêts fréquents du bus. Elle se retrouve avec la fumée d'échappement qui n'est pas très agréable ,
, Autres expériences en dehors de Rennes
Elle considère que « la conduite à Rennes est plus sereine comme la vie ». A Lille, selon elle, les usagers font moins attention à l'un et à l'autre. -Elle se sent parfois en danger vis-à-vis des voitures qui ne modèrent pas leur vitesse. « Les voitures ne font pas attention pour la plupart » -Elle a eu un accident avec un cycliste lors d'un dépassement par la droite. Elle est agacée par ce type de comportement. Aujourd'hui, elle est méfiante vis-à-vis des cyclistes, Selon Charlotte, à Lille l'ambiance est globalement plus stressée, plus énervée, car il y a un plus grand nombre de personnes. Certains quartiers à Lille « craignent ». Elle n'a pas encore ressenti ça à Rennes ,
on est respectés des automobilistes » Contrairement à Rennes : « A Rennes, on se fait invectiver régulièrement » -Quiberon : Très anxiogène sur certaines parties de ses parcours dû au différentiel de vitesse. Les voitures peuvent rouler à 70, 90 km/h. -Morlaix : Elle ne prenait pas de vélo même pour faire 500 mètres parce ,