Abstract : Introduction : Emphasized by the necessity to improve prevention in France, the sanitary service took place for the first time this year. In order to participate to its improvement, we focused on its influence on the willing of the students to increase prevention in their behavior, and on their satisfaction regarding the service.
Methods : This survey was made by a dematerialized questionnaire, including different categories of questions : description of the student, description of his sanitary service, satisfaction regarding different steps of the service, and willingness to increase prevention in their behavior towards certain publics, including themselves. The analysis has been made by statistical calculations.
Results : At the end of their sanitary service, students don’t seem willing to increase prevention in their behavior, except towards their patients. However, the more satisfied they are, the more they want to include prevention in their behavior.
Conclusion : This survey alone is not enough to measure the impact of the sanitary service. Satisfaction seems to be a factor that needs to be improved, in addition to the long-term evaluation of the inclusion of prevention, at least in their professional practices.
Résumé : Introduction : Souligné par la nécessité d’améliorer la prévention en France, le service sanitaire a eu lieu pour la première fois cette année. Afin de participer à son évaluation, nous nous sommes concentrés sur son influence dans l’incitation au changement en matière de prévention primaire auprès des étudiants, ainsi que sur leur satisfaction.
Matériel et méthodes : Cette étude a été réalisée via un questionnaire dématérialisé comportant plusieurs parties : description de l’étudiant, description de son service sanitaire, satisfaction vis-à-vis de différentes étapes, et incitation au changement personnel concernant différents types de publics cibles, y compris lui-même. L’analyse a été réalisée selon des tests statistiques.
Résultats : À l’issue de leur service sanitaire, les étudiants ne semblent pas réellement plus enclins à dispenser plus de prévention, si ce n’est pour leurs patients. Cependant, lorsqu’ils sont satisfaits de leur expérience, ils sont d’avantage enclins à dispenser plus de prévention.
Conclusion : Cette seule étude ne permet pas de mesurer l’impact du service sanitaire sur les futurs professionnels de santé. La satisfaction semble être un déterminant à travailler, tout comme l’évaluation à long terme de l’inclusion de la prévention, à minima dans les pratiques professionnelles.