Résumé : Ce mémoire a pour objectif d'étudier si l'autocorrection est une méthode plus efficace que la correction directe afin de remédier aux erreurs de grammaire récalcitrantes dans les productions écrites d'élèves de seconde. Il interroge aussi sur la place de l'enseignant dans ce processus d'autonomisation ainsi que d'autres paramètres tels que la motivation. À travers une approche à la fois quantitative et qualitative, j'ai tenté d'apporter une réponse à ce sujet - qui depuis les années 70 - ne cesse de fasciner de nombreux chercheurs en didactique des langues.