Cogito ergo sum (je pense donc je suis)
Résumé
L'adolescence est le temps de construction d'une identité nouvelle, sur le plan physique, psychique mais également social. Il va être nécessaire pendant cette période de se différencier de l'adulte et en particulier de ses parents pour se singulariser.
L'école dans ce processus joue un rôle central. Elle est le lieu de projection des idéaux parentaux mais également de l'idéal de l'adolescent lui-même. Elle est aussi le support d'investissements moins menaçants, notamment au travers des apprentissages scolaires, venant soutenir le narcissisme de l'adolescent.
Mais chez certains adolescents, va apparaitre une impossibilité à investir cette pensée, qui sera devenue trop menaçante. De ce fait, une impossibilité à s'investir en tant que sujet. Ces adolescents présentent alors bien souvent une forme de repli : repli à domicile, apathie, apragmatisme, aboulie, décrochage scolaire, refus scolaire anxieux (...).
Dans les espaces de soin, aujourd'hui, nombres de médiations thérapeutiques sont utilisées par différents corps de métier. Pour autant la littérature ne semble pas refléter cette richesse clinique.
La créativité quant à elle apparaît comme constante à l'adolescence. Nous la retrouvons au travers des formes culturelles ou artistiques, mais aussi lors des passages à l'acte ou dans la symptomatologie des adolescents.
Nous avons évoqué la créativité comme élément central dans ces prises en charge au travers de la discussion avec des professionnels de parcours et de formations différentes. Nous avons pu voir leurs moyens, au travers des médiations qu'ils proposaient, de favoriser l'émergence d'une pensée différenciée, unique qui de ce fait était sécurisante.
L'école dans ce processus joue un rôle central. Elle est le lieu de projection des idéaux parentaux mais également de l'idéal de l'adolescent lui-même. Elle est aussi le support d'investissements moins menaçants, notamment au travers des apprentissages scolaires, venant soutenir le narcissisme de l'adolescent.
Mais chez certains adolescents, va apparaitre une impossibilité à investir cette pensée, qui sera devenue trop menaçante. De ce fait, une impossibilité à s'investir en tant que sujet. Ces adolescents présentent alors bien souvent une forme de repli : repli à domicile, apathie, apragmatisme, aboulie, décrochage scolaire, refus scolaire anxieux (...).
Dans les espaces de soin, aujourd'hui, nombres de médiations thérapeutiques sont utilisées par différents corps de métier. Pour autant la littérature ne semble pas refléter cette richesse clinique.
La créativité quant à elle apparaît comme constante à l'adolescence. Nous la retrouvons au travers des formes culturelles ou artistiques, mais aussi lors des passages à l'acte ou dans la symptomatologie des adolescents.
Nous avons évoqué la créativité comme élément central dans ces prises en charge au travers de la discussion avec des professionnels de parcours et de formations différentes. Nous avons pu voir leurs moyens, au travers des médiations qu'ils proposaient, de favoriser l'émergence d'une pensée différenciée, unique qui de ce fait était sécurisante.
Origine : Fichiers produits par l'(les) auteur(s)