La réduction des déchets, la marque et les produits
Résumé
Dans le contexte de la société de consommation dont les conséquences sur l’environnement commencent déjà à ternir le quotidien de certaines populations dans le monde, il semble normal de douter et de s’interroger quant à notre rôle et à celui des entreprises qui proposent des biens de consommation.
À l’échelle du consommateur, comme le colibri de la légende améridienne, il est possible d’essayer de faire sa part. Mais quand les magasins distributeurs et les marques s’y mettent, on peut constater l’apparition de projets qui vont dans le sens d’une déconsommation raisonnée et plus vertueuse. La réduction des emballages est un des moyens permettant d’aller dans ce sens, sans pour autant renoncer totalement à toutes formes de consommation.
Aujourd’hui, il est possible d’acheter certains produits du quotidien sans emballage grâce à la mise en place de rayons vrac dans certains magasins physiques et même ligne. Mais c’est aussi possible grâce à la remise au goût du jour du système de consigne. Néanmoins, éliminer le packaging c’est aussi supprimer un support communicationnel, un dispositif d’intermédiation marchande, permettant aux marques de valoriser leurs produits, en les enrobant de signes qui permettent de convaincre les consommateurs. On peut alors s’interroger quant à l’invisibilisation des marques par la vente en vrac de leurs produits.
En analysant les rayons vrac, les produits zéro déchet et l’essor de certains types de distribution, on peut comprendre que certaines marques parviennent à la fois à s’inclure dans le processus de déconsommation, tout en conservant leur image valorisante qui enrobe leurs produits de valeurs ajoutées, qu’elles partagent avec les consommateurs intéressés par le phénomènes issus de la déconsommation. Ces marques semblent donc pouvoir continuer à exister sereinement en vendant des produits, avec ou sans emballages, sans produire des déchets ménagers du côté de leurs consommateurs.
À l’échelle du consommateur, comme le colibri de la légende améridienne, il est possible d’essayer de faire sa part. Mais quand les magasins distributeurs et les marques s’y mettent, on peut constater l’apparition de projets qui vont dans le sens d’une déconsommation raisonnée et plus vertueuse. La réduction des emballages est un des moyens permettant d’aller dans ce sens, sans pour autant renoncer totalement à toutes formes de consommation.
Aujourd’hui, il est possible d’acheter certains produits du quotidien sans emballage grâce à la mise en place de rayons vrac dans certains magasins physiques et même ligne. Mais c’est aussi possible grâce à la remise au goût du jour du système de consigne. Néanmoins, éliminer le packaging c’est aussi supprimer un support communicationnel, un dispositif d’intermédiation marchande, permettant aux marques de valoriser leurs produits, en les enrobant de signes qui permettent de convaincre les consommateurs. On peut alors s’interroger quant à l’invisibilisation des marques par la vente en vrac de leurs produits.
En analysant les rayons vrac, les produits zéro déchet et l’essor de certains types de distribution, on peut comprendre que certaines marques parviennent à la fois à s’inclure dans le processus de déconsommation, tout en conservant leur image valorisante qui enrobe leurs produits de valeurs ajoutées, qu’elles partagent avec les consommateurs intéressés par le phénomènes issus de la déconsommation. Ces marques semblent donc pouvoir continuer à exister sereinement en vendant des produits, avec ou sans emballages, sans produire des déchets ménagers du côté de leurs consommateurs.
Origine | Fichiers produits par l'(les) auteur(s) |
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