Ce mémoire traite des représentations que les jeunes élèves peuvent avoir concernant le handicap. Mon changement de stage en cours d’année m’a poussée à modifier légèrement mon sujet qui traitait initialement de l’inclusion scolaire des enfants en situation de handicap psychique en cycle 2 ou 3. Après une présentation des différentes définitions du handicap et de l’inclusion scolaire je me suis intéressée à différents auteurs. Ces auteurs s’intéressent eux même à la question du handicap et de l’inclusion scolaire. On constate globalement dans cette étude que les stéréotypes du handicap présents dans notre société ne favorisent pas l’inclusion des personnes en situation de handicap et ce pour différentes raisons. Cependant, des moyens sont mis en oeuvre, et particulièrement au sein de l’école, pour inclure les enfants en situation de handicap. La différenciation, qui est le pilier majeur de l’inclusion, n’est qu’une partie de ce qui peut être mis en place au sein de la classe pour favoriser un climat serein pour tous les élèves. De plus, dans mes lectures j’ai appris que la théorie du contact étendu était un moyen de réduire les stéréotypes chez les adultes. C’est la raison pour laquelle ma séquence pédagogique mise en place va relever les représentations des jeunes élèves avant et après avoir fait une activité de mise en situation. Ainsi, on constatera si leurs représentations ont évoluées ou non. Cette étude va donc me permettre de voir si la théorie du contact étendu s’applique aussi aux jeunes élèves qui ont peu ou pas de connaissances à ce sujet.