La trace, une empreinte du corps : la pertinence d’un groupe «Traces» en psychomotricité auprès d’adultes déficients intellectuels
Résumé
Draw his mark has always been, since ancient times, essential for psychomotor construction. It makes us aware that we can leave a mark of us, a listing of our presence. The trace is identity and narcissistic. By the trace we feel alive. It is the mark of our body. Does the trace help to repair major psychomotor problems with adults with intellectual disabilities?
The group is a pervasive notion that accompanies each individual, throughout life, in the construction of identity, individuation and in the integration in the world. Does the group have a role to play in improving in psychomotor and on everyone’s trace?
To answer these questions, I created for six months; a "Traces" group with four mentally disables adults. By traces activities, we have seen an evolution in the tone of the body axis and the relationship.
Laisser sa trace a toujours été, depuis la nuit des temps, essentielle à la construction psychomotrice. Elle permet de prendre conscience qu’on peut laisser une marque de nous, une inscription de notre présence. La trace est identitaire et narcissisante. Par la trace, on se sent exister. Elle est la marque de notre corps. La trace permet-elle de consolider les grands items psychomoteurs chez des adultes atteints d’une déficience intellectuelle ?
Le groupe est une notion omniprésente qui accompagne chaque individu, tout au long de sa
vie, dans sa construction identitaire, son individuation et son intégration au monde. Le groupe a-t-il un rôle à jouer dans l’amélioration psychomotrice et la trace de chacun ?
Pour répondre à ces questionnements, j’ai créé pendant six mois, un groupe «Traces» avec quatre patients adultes déficients intellectuels. Par des propositions de tracés, nous avons pu observer une évolution au niveau du tonus, de l’axe corporel et de la relation.
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