Ce mémoire arrive au terme d’un parcours scolaire pleinement tourné vers la culture et marque une forme de bilan de mi-parcours de stage de fin d’étude au sein de l’association qui organise le festival Le Grand Bivouac à Albertville. Dans une logique de mise en regard d’apprentissages liés à ma formation et de l’expérience concrète au sein d’une équipe et autour d’un projet, j’ai choisi de porter ma recherche sur les droits culturels. Loin de moi l’idée de faire des vas-et-viens entre les idées et libertés que recouvrent ces droits et l’association, mais il s’agit plutôt de questionner d’enrichir d’un côté l’aspect théorique, et de l’autre le pratique. Car si la Déclaration de Fribourg (2007, par le groupe du même nom) -qui met véritablement en mots la notion de droits culturels- constitue une notion phare pour certaines structures et associations, il en est d’autres qui m’apparaissent moins sensibles à celle-ci, sciemment ou non.