Restraints and motivations of general practitionners for reporting serious adverse events (sae) associated with care
Freins et motivations des médecins généralistes à la déclaration des événements indésirables graves associés aux soins
Résumé
Introduction: there is a large difference between the number of serious adverse events associated with care reported in 2017 according to HAS compared to the number of SAEs expected according to the ESPRIT study.
Objectives: the purpose of this study is to understand and / or explain the reasons for this underreporting, and to determine means to improve the number of reports.
Results: 15 interviews were conducted from December 2018 to July 2019, until data saturation. The lack of knowledge of the device (11GP) and its reporting platform (15GP) are the major reasons for the under declaration, as well as professional restraints such as time (10GP) and workload (8GP); and the sentiments surrounding error, especially those of guilt (7GP) seem to slow down this statement. Professional information (12GP) is a way to encourage reporting; just like the error training (4GP) but also on its detection and its apprehension.
Conclusion: the information and training of general practitioners are the key to improving the reporting system of SAE and contributing to a safer health system.
Objectives: the purpose of this study is to understand and / or explain the reasons for this underreporting, and to determine means to improve the number of reports.
Results: 15 interviews were conducted from December 2018 to July 2019, until data saturation. The lack of knowledge of the device (11GP) and its reporting platform (15GP) are the major reasons for the under declaration, as well as professional restraints such as time (10GP) and workload (8GP); and the sentiments surrounding error, especially those of guilt (7GP) seem to slow down this statement. Professional information (12GP) is a way to encourage reporting; just like the error training (4GP) but also on its detection and its apprehension.
Conclusion: the information and training of general practitioners are the key to improving the reporting system of SAE and contributing to a safer health system.
Introduction : il existe un grand écart entre le nombre d’événements indésirables graves associés aux soins déclarés en 2017 selon HAS par rapport au nombre d’EIGS attendu selon l’étude ESPRIT.
Objectifs : Cette étude a pour but de comprendre et /ou d’expliquer les raisons de cette sous déclaration, et de déterminer les moyens d’améliorer le nombre de signalement.
Matériels et Méthodes : il s’agit d’une étude qualitative au moyen d’entretiens semi dirigés auprès de médecins généralistes.
Résultats : 15 entretiens se sont déroulés de décembre 2018 à juillet 2019, jusqu’à saturation des données. La méconnaissance du dispositif (11MG) et de sa plateforme de signalement (15MG) sont les principales raisons de la sous déclaration. De plus, les contraintes professionnelles comme le temps (10MG) et la charge de travail (8MG) ; ainsi que le ressenti autour de l’erreur avec le sentiment de culpabilité (7MG) semblent freiner cette déclaration. L’information des professionnels (12MG) est un moyen d’inciter à déclarer ; tout comme la formation à l’erreur (4MG) aussi bien sur sa détection que son appréhension.
Conclusion : l’information et la formation des médecins généralistes sont les clés pour améliorer le dispositif de déclaration des EIGS et contribuer à un système de santé plus sûr.
Objectifs : Cette étude a pour but de comprendre et /ou d’expliquer les raisons de cette sous déclaration, et de déterminer les moyens d’améliorer le nombre de signalement.
Matériels et Méthodes : il s’agit d’une étude qualitative au moyen d’entretiens semi dirigés auprès de médecins généralistes.
Résultats : 15 entretiens se sont déroulés de décembre 2018 à juillet 2019, jusqu’à saturation des données. La méconnaissance du dispositif (11MG) et de sa plateforme de signalement (15MG) sont les principales raisons de la sous déclaration. De plus, les contraintes professionnelles comme le temps (10MG) et la charge de travail (8MG) ; ainsi que le ressenti autour de l’erreur avec le sentiment de culpabilité (7MG) semblent freiner cette déclaration. L’information des professionnels (12MG) est un moyen d’inciter à déclarer ; tout comme la formation à l’erreur (4MG) aussi bien sur sa détection que son appréhension.
Conclusion : l’information et la formation des médecins généralistes sont les clés pour améliorer le dispositif de déclaration des EIGS et contribuer à un système de santé plus sûr.
Origine | Fichiers produits par l'(les) auteur(s) |
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