To Be or Not to Be : analyse du concept de « lovemark »
Résumé
Si les marques sont omniprésentes dans notre quotidien, une tendance de fond tend à émerger : le phénomène « lovemark ». Ces dernières seraient des marques que l’on aime avec un vrai amour pour ce qu’elles sont et font.
Mais est-ce que les « lovemarks » existent ? Là est tout le propos de ce mémoire qui de la pratique au commentaire en passant par la référence, va traiter de cette notion. Si l’on observe le digital et les réseaux sociaux, on se rend compte que ces dernières n’existent pas. Kevin Roberts qui met un point d’honneur à mettre la notion de « relation » dans l’amour d’un individu pour sa marque, trouve des limites importantes avec des marques qui utilisent le digital uniquement pour être contemplées. Si le numérique permet une communication horizontale, ce dernier reste une continuité de la communication traditionnelle et la marque un acteur purement économique.
Mais le concept « lovemark » est souvent utilisé dans le monde du marketing et l’on se rend compte que le concept existe si on le pense comme un moyen de rajeunir le marketing, d’utiliser ses bases pour l’actualiser… somme toute un moyen de « marketer le marketing ». Un constat d’autant plus vrai que le livre de Roberts, malgré son caractère de divertissement autobiographique, ouvre des notions de marketing assez intéressantes. Finalement la « lovemark » existerait comme moyen d’actualiser le marketing, d’implanter un peu de rêve dans les marques mais n’est pas un concept sémiotiquement exact puisque l’amour pour une marque doit être vu comme un attachement matériel au mieux de l’affection, mais pas le vrai amour dépeint par Roberts...
Mais est-ce que les « lovemarks » existent ? Là est tout le propos de ce mémoire qui de la pratique au commentaire en passant par la référence, va traiter de cette notion. Si l’on observe le digital et les réseaux sociaux, on se rend compte que ces dernières n’existent pas. Kevin Roberts qui met un point d’honneur à mettre la notion de « relation » dans l’amour d’un individu pour sa marque, trouve des limites importantes avec des marques qui utilisent le digital uniquement pour être contemplées. Si le numérique permet une communication horizontale, ce dernier reste une continuité de la communication traditionnelle et la marque un acteur purement économique.
Mais le concept « lovemark » est souvent utilisé dans le monde du marketing et l’on se rend compte que le concept existe si on le pense comme un moyen de rajeunir le marketing, d’utiliser ses bases pour l’actualiser… somme toute un moyen de « marketer le marketing ». Un constat d’autant plus vrai que le livre de Roberts, malgré son caractère de divertissement autobiographique, ouvre des notions de marketing assez intéressantes. Finalement la « lovemark » existerait comme moyen d’actualiser le marketing, d’implanter un peu de rêve dans les marques mais n’est pas un concept sémiotiquement exact puisque l’amour pour une marque doit être vu comme un attachement matériel au mieux de l’affection, mais pas le vrai amour dépeint par Roberts...
Origine : Fichiers produits par l'(les) auteur(s)