La littérature représente l’aéroport comme le lieu de tous les possibles, le lieu de l’envol et de l’oubli mais aussi le lieu de toutes les angoisses. La littérature permet de rendre compte de l’aéroport en en dévoilant une complexité spatiale, sociale et psychologique. S’appuyant sur la lecture d’une dizaine de romans qui balayent des représentations de l’aéroport international, le mémoire se focalise sur le programme particulier de l’aéroport, en saisit la description faites par les romanciers tout en la mettant en perspective avec les écrits de l’architecte Paul Andreu, lui-même architecte d’une dizaine d’aéroports.