Le mémoire naît d’une interrogation sur les espaces vides et les enjeux socio-écologiques qui en découlent (liés à une fabrique linéaire de la ville et une appréhension binaire de l’urbain). L’autrice analyse la sémantique du mot vide pour la rapprocher de la notion de Commun. Dans un premier temps, il s’agit de montrer qu’une gestion commune renouvelle la ville et l’architecture sur les espaces vacants à travers plusieurs exemples. Dans un second temps, l’autrice montre que le Commun porte une filiation directe avec l’architecture et que l’on a tout intérêt à développer des initiatives visant à générer, gérer et partager des espaces architecturaux pour des questions de développement durable et de transition socio-écologique. Il s’agira de relire certaines thématiques de l’histoire de l’architecture et de les confronter au présent.