Dans les réseaux d’irrigation à la demande, l’intégration des principes de régulation par variation de vitesse des pompes est indispensable. Cependant, ces technologies sont parfois mal maîtrisées. La régulation n’est alors pas optimisée énergétiquement et les pompes subissent des contraintes mécaniques accrues. Deux optimisations des modes de régulation sont proposées. Une étude de cas portant sur une station de 3800 m3/h à 190 mHMT montre qu’ils permettent des économies non négligeables. La rédaction d’un cahier des charges vise à imposer aux installateurs la mise en place d’un mode de régulation énergétiquement optimisé, tout en assurant le bon fonctionnement des pompes.