À l’heure où les avancées musicales électroniques se font avant tout sur le son (méthodes de synthèse), ce mémoire se propose de prendre le problème dans l’autre sens : selon le geste. La plupart des instruments électroniques/numériques permettent à beaucoup de personne de pouvoir créer, composer et interpréter de la musique, mais au détriment d’une expressivité gestuelle bien souvent immobilisée par des organes de commande non musicaux : le potentiomètre, le fader, le bouton, etc. Suffirait-il alors de proposer des contrôleurs et machines usant de capteurs comme des gyroscopes et gravimètres pour ainsi redonner à la musique ce qu’elle a « perdue » avec l’électronique : de l’expressivité ?